Au sein de la filière du livre comme dans les autres industries culturelles, les professionnel·les se sont engagé·es depuis quelques années sur la voie d’une production et d’une diffusion plus conscientes des responsabilités environnementales et sociales.
Pour tous et toutes, il s’agit bien de penser le livre comme un bien culturel unique, vecteur de lien humain et de pensée féconde, mais également consommateur de matières premières, potentiel pollueur qui ne s’ignore plus, et partie prenante, parfois malgré lui, d’une logique productiviste insatiable.
Fédération interrégionale du livre et de la lecture, fill-livrelecture.org, consulté le 09-12-22
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